Triste constat: discussion ouverte
Publié le 17 Mars 2008
Un(e) cynique rencontre un désespéré(e), combien de possibilités qu'ils se comprennet, s'apprennent, s'aiment, à mon avis peu et
pourtant c'est souvent l'état dans lequel des gens qui veulent à nouveau aimer se retrouve.
Le passé s'accroche à eux comme une vieille ombre qui traîne, ce qui est passé est mort, les fagots mouillés de nos souvenirs sont inaptes à créer de la chaleur.
Laisser ses peurs, ses rancoeurs , ce n'est pas oublier, c'est avancer, comment changer un schéma si on garde toujours le même modèle dans notre esprit.
Le passé semble tenir chaud, à mon sens il provoque des réflexions stériles et froides.
Les grandes choses impliquent des efforts (oui, oui) mais c'est encore plus dur si on part chargé comme une mule.
Et votre avis, c'est quoi?